Configurations recommandées pour UNIVERSALIS 2017
UNIVERSALIS 2017 n’est pas compatible avec Mac OSX 10.6 ni avec les versions antérieures de Mac OS.
UNIVERSALIS 2017 n’est pas compatible avec Windows 8 RT (version installée sur la tablette Surface).
UNIVERSALIS 2017 peut fonctionner sur certaines configurations de Windows XP, mais l’application peut être lente voire ne pas démarrer si la mémoire vive (RAM) disponible est insuffisante.
L’édition encyclopédique se définit autour d’un projet qui ne saurait se limiter à rassembler des articles et des médias dans un même ouvrage. Chaque document est un élément relatif qui prend place et valeur dans une architecture globale, préalablement élaborée.
En effet, les domaines de la connaissance ne sont pas des espaces clos composés d’informations distinctes mais, au contraire, des espaces ouverts où se croisent tous les éléments du savoir jusqu’à constituer un ensemble homogène, complet, sans redite et sans omission.
Cela ne veut pas dire que toute information est utile, et c’est le rôle d’une encyclopédie que de retenir celles qui font sens, dans l’acception la plus large du terme, en rejetant celles qui, plus éphémères, sont d’ordre anecdotique.
C’est à cette condition qu’un ouvrage encyclopédique remplit sa mission : offrir à son lecteur l’ensemble éprouvé des connaissances et des savoirs.
Pour y parvenir, l’Encyclopædia Universalis bénéficie du soutien actif et constant d’une importante communauté de 7 400 auteurs et conseillers issus de tous les domaines du savoir. Qu’ils soient ici remerciés.
Spécialistes de leur discipline, auteurs et conseillers scientifiques établissent la table des contenus et rédigent l’intégralité des articles. Ils participent également à l’élaboration des divers documents médias.
Concevoir et rédiger un article n’est pas chose aisée et demande une capacité à couvrir en profondeur l’essentiel d’un sujet sans omettre les détails à ne pas manquer. Cela demande aussi une grande disponibilité, l’ensemble de l’encyclopédie étant réalisé en étroite collaboration avec l’équipe éditoriale d’Universalis.
Leur signature (figurant sous le titre de chaque article) est la marque de cet engagement, et garantit au lecteur d’Universalis une information exacte, précise et rigoureuse.
Interlocuteurs permanents des auteurs et des conseillers, ils bâtissent, article par article, le corpus encyclopédique. Ils collaborent également aux créations des médias. En apportant à chaque article sa qualité finale, ils forgent ensemble l’unité indispensable de l’ouvrage. Sans cette vision globale, l’encyclopédie ne serait qu’une succession de textes et d’images sans logique.
L’iconographie occupe une place importante dans l’Universalis, avec près de 25 000 documents, fixes ou animés. Le choix de chaque image s’appuie sur une démarche collaborative en étroite relation avec l’équipe éditoriale (auteurs et éditeurs) et les meilleures photothèques, les musées nationaux, les instituts de recherche, quel que soit le sujet ou le domaine concerné.
Les milliers de dessins (plus de 13 000 ?!) sont effectués ici encore en complète exclusivité. Exécutés selon les directives des auteurs et des éditeurs, ils s’appuient sur les documentations les plus récentes, provenant des meilleures sources. Présents dans tous les domaines (architecture, techniques, économie, histoire, archéologie, sciences humaines, etc.), ils restituent avec exactitude le sujet traité. Ces dessins peuvent être de formes diverses : tableaux, cartes, schémas, graphiques, etc.
L’atlas Universalis propose plus de 1400 cartes, toutes réalisées en exclusivité et présentant plusieurs niveaux d’informations (cartes administratives et relief, données chiffrées, etc.) Ce corpus résulte ici encore d’une étroite collaboration entre toutes les parties concernées : auteurs, éditeurs, cartographes, infographistes, informaticiens.
Plusieurs centaines de vidéos et d’extraits sonores complètent l’illustration de la version numérique de l’encyclopédie. Leur création ou leur sélection résulte d’un véritable processus éditorial, au même titre que les autres documents présentés.
Le rôle de l’indexation est primordial : au terme d’une lecture fine et complète de l’intégralité de l’encyclopédie, elle donne au moteur de recherche un niveau de pertinence unique. En effet, les moteurs de recherche informatiques ne peuvent distinguer les différents sens possibles d’un même mot. Par exemple, lorsque nous entrons le mot « ?racine ? », le moteur de recherche ne peut identifier l’objet de la recherche : s’agit-il de botanique, de linguistique (étymologie), de mathématiques (racine carrée, racine d’une équation) ? S’agit-il de Jean Racine, de Louis Racine, de Fricker Peter Racine ?
L’indexation associe avec précision chaque mot avec son (ou ses) sens. Le lecteur est ainsi assuré :
Le service des correcteurs contribue grandement à la qualité de l’ouvrage, puisqu’il intervient tant sur le fond que sur la forme. Une de ses missions consiste à garantir la meilleure qualité orthographique possible, même si, comme le disait André Gide, « ?il n’est pas d’édition sans coquille ? ». Chaque texte – article, notice, légende, commentaire – est relu et annoté. Les fautes et les approximations, tant qu’elles n’entraînent pas de modifications importantes dans la rédaction ou dans le discours, sont aussitôt rectifiées. Dans le cas contraire, la copie est reprise et remaniée par l’auteur et l’éditeur en charge du sujet.
Le service de correction intervient également sur un plan véritablement éditorial : les correcteurs vérifient en effet rigoureusement l’ensemble des données (fact checking), les translittérations (graphie des noms étrangers, normés par des règles internationales de traduction phonétique), et assurent ainsi l’homogénéité du corpus encyclopédique.
Enfin, les correcteurs contrôlent après « ?la mise en page ? » (on devrait dire « la mise en écran »), l’unité typographique, dont la bonne observance des règles garantit une parfaite qualité de lecture.
En parallèle de ce processus éditorial, le lancement d’Universalis 2017 mobilise l’ensemble des équipes d’Encyclopædia Universalis :
La phase de conception est une étape clé. C’est à ce moment que sont créés l’interface – qui se doit d’être la plus simple et la plus fluide possible –, les différentes salles (Médiathèque, Clés pour le XXIe siècle, Journal des Français, Bibliothèque, Patrimoine d’Universalis…), l’Atlas, et les innovations comme l’outil Corrélats, qui permet d’afficher des articles en relation avec sa consultation initiale.
Notre préoccupation constante est d’innover, de moderniser notre offre et de répondre à de nouveaux usages afin de proposer la meilleure expérience possible à nos lecteurs.
À l’issue de la phase de conception, est développé le logiciel permettant de naviguer et de lire les contenus Universalis 2017. Les équipes de développeurs suivent de très près l’évolution des différents systèmes d’exploitation afin que le logiciel fonctionne sur le parc de machines installées le plus large possible.
Les contenus Universalis 2017 sont accessibles grâce à un moteur de recherche ultra-performant proposant 7 modes au choix (recherche par mot clé, avancée, alphabétique, thématique, par auteur, dans la médiathèque, dans l’historique de consultation) pour des résultats d’une extrême fiabilité.
Pour un meilleur confort d’utilisation, Universalis 2017 est désormais sur clé USB, un nouveau support qui présente de multiples avantages :
Tout au long de son développement, Universalis 2017 fait l’objet de nombreux tests fonctionnels et de qualité.
C’est principalement par la vente à distance qu’Universalis 2017 est commercialisée. Les utilisateurs des versions précédentes reçoivent chaque année le nouveau millésime à tarif préférentiel. L’offre est également disponible chez les plus grandes librairies en ligne et sur notre boutique Encyclopædia Universalis.
En sus de ce qui précède, l’éditeur remercie tout particulièrement les institutions (académies, instituts de recherche, centres d’études, organismes indépendants) dont la participation et le soutien au projet encyclopédique demeurent essentiels.
Depuis sa première édition, l’Encyclopædia Universalis est reconnue d’intérêt pédagogique par le ministère de l’Éducation nationale, direction de la technologie.
Le DVD Encyclopædia Universalis a également reçu plus de trente récompenses de la presse spécialisée.
Plus de 7 200 personnalités de l’enseignement et du monde culturel signent l’intégralité du corpus de cette nouvelle édition.
Nombre d’entre eux ont également collaboré avec les services éditoriaux d’Universalis pour la réalisation des documents multimédias.
UNIVERSALIS 2017 vous donne la possibilité de consulter l’intégralité de l’encyclopédie à partir de la signature de ses contributeurs.
Les éditeurs d’Encyclopædia Universalis remercient tout particulièrement pour leur contribution aux éléments multimédias :
Cartographie mise à jour par l’Afdec, avec la collaboration de Franck Payen.
Art égyptien
Annie Forgeau, maître de conférences à l’université de Paris-IV-Sorbonne, docteur d’État.
Art khmer
Thierry Zéphir, ingénieur d’études au Musée national des arts asiatiques-Guimet, Paris.
Art du Proche-Orient
Jean-Claude Margueron, docteur ès lettres, directeur de la Mission archéologique de Mari, directeur d’études à l’École pratique des hautes études (IVe section).
Peinture occidentale du XIVe au début du XXe siècle
Barthélémy Jobert, ancien élève de l’École normale supérieure, professeur à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Peinture du XXe siècle
Isabelle Ewig, maître de conférences en histoire de l’art contemporain à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Jacinto Lageira, professeur en esthétique à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, critique d’art.
Marcella Lista, docteur en histoire de l’art, responsable de programmation au Musée du Louvre.
Bénédicte Ramade, chargée de cours d’histoire de l’art à l’université Panthéon-Sorbonne, critique d’art.
Hervé Vanel, professeur d’histoire de l’art contemporain à l’université Brown, Rhode Island.
Peinture occidentale du XIVe au début du XXe siècle
Barthélémy Jobert, ancien élève de l’École normale supérieure, professeur à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Peinture du XXe siècle
Isabelle Ewig, maître de conférences en histoire de l’art contemporain à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Jacinto Lageira, professeur en esthétique à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, critique d’art.
Marcella Lista, docteur en histoire de l’art, responsable de programmation au Musée du Louvre.
Guitemie Maldonado, maître de conférences en histoire de l’art moderne et contemporain, université de Paris-I.
Bénédicte Ramade, chargée de cours d’histoire de l’art à l’université Panthéon-Sorbonne, critique d’art.
Hervé Vanel, professeur d’histoire de l’art contemporain à l’université Brown, Rhode Island.
Sculpture occidentale
Barthélémy Jobert, ancien élève de l’École normale supérieure, professeur à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Thierry Dufrêne, professeur d’histoire de l’art contemporain à l’université de Paris-X-Nanterre.
François Baratte, professeur à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Bernard Holtzmann, ancien membre de l’École française d’Athènes, professeur émérite d’archéologie grecque.
Daniel Russo, ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de l’Université, ancien membre de l’École française de Rome, professeur d’histoire de l’art médiéval à l’université de Bourgogne.
Jérôme Belaygue, concepteur informatique.
Jean-Louis Chautemps, saxophoniste, flûtiste, compositeur et écrivain.
Alain Féron, compositeur, critique, musicologue, producteur de radio.
Juliette Garrigues, musicologue, analyste, chef de chœur, diplômée du Conservatoire national supérieur de musique de Paris.
Eugène Lledo, compositeur, auteur, musicologue et designer sonore. Titulaire d’un DEA de musicologie (université de Paris-VIII).
Christophe Lorentz, rédacteur on-line, spécialiste des musiques électroniques.
Christian Merlin, agrégé de l’Université, docteur ès lettres, maître de conférences à l’université Charles-de-Gaulle, Lille-III, critique musical.
Walter Scassolini, rédacteur, Music in Europe.
Archéologie et civilisations anciennes
Aïcha Bachir Bacha, ingénieur, chercheur à l’École des hautes études en sciences sociales.
Éric Janicot, docteur ès lettres et sciences humaines, docteur en histoire de l’art et archéologie.
Pierre Ragon, écrivain, directeur des collections Horizons Amérique latine, L’Autre Amérique, Recherches et documents Amérique latine, Recherches et documents Espagne.
Clarisse Didelon, maître de conférences en géographie à l’université du Havre et membre de l’équipe CIRTAI de l’UMR 6268 IDEES, coordinatrice scientifique adjointe du projet de recherche ESPON 3.4.1 « ?Europe dans le Monde ? » à l’UMS RIATE.
Jean-Marie Maillefer, agrégé d’histoire, professeur des universités en langues et littératures germaniques et scandinaves, membre de la Société des historiens médiévistes de l’enseignement public français, membre de Kungliga Samfundet för utgivande av handskrifter rörande Skandinaviens historia (Société royale pour l’édition des manuscrits concernant l’histoire de la Scandinavie).
Renaud de Spens, conférencier en égyptologie à l’École nationale supérieure (2005), conférencier en égyptologie à l’université de Lille, enseignant-chercheur (ATER) à l’université de Paris-II.
Pierre-Yves Badel, docteur ès lettres, professeur à l’université de Paris-VIII.
Antony Hostein, professeur agrégé d’histoire, allocataire-moniteur à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne.
Franck Prêteux, professeur agrégé en histoire, civilisation, archéologie et art des mondes anciens et médiévaux à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Michael Guichard, maître de conférences à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, spécialiste du Proche-Orient amorrite, éditeur des textes de Mari.
Histoire
Olivier Pinte, diplômé de sciences politiques, d’histoire et de cinéma.
Luc Forest, professeur d’histoire et de géographie, collège François-Mitterrand, Moissac.
Pascal Buresi, chargé de recherche au CNRS.
Olivier Compagnon, ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé d’histoire, maître de conférences en histoire à l’université de Paris-III-Sorbonne nouvelle (Institut des hautes études de l’Amérique latine).
Vincent Gourdon, agrégé et docteur en histoire, chercheur au CNRS.
Patrick Perrin, directeur du Musée d’archéologie nationale.
Sylvain Venayre, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne.
Xavier Lapray, agrégé d’histoire.
Bertrand Blancheton, docteur en sciences économiques, professeur des universités, coordinateur Erasmus pour l’économie, chargé de conférences à Sciences Po, Paris.
Société
Alain Labrousse, retraité de l’Éducation nationale, expert dans le domaine de la géopolitique des drogues.
Jean-Marie Bourdaire, consultant international.
Biologie
Anne Hervé-Minvielle, docteur en neurosciences, conseiller scientifique du directeur du palais de la Découverte, chef de projets en médiation scientifique.
Virginie Cavier, pharmacienne écotoxicologue.
Alain Labrousse, retraité de l’Éducation nationale, expert dans le domaine de la géopolitique des drogues.
Béatrice Le Brun, rédactrice scientifique.
Nicolas Chevassus-au-Louis, docteur ès sciences, journaliste.
Lucas Salomon, docteur en neurosciences et professeur agrégé de sciences de la vie et de la Terre.
Jeremy Lavalaye, journaliste scientifique.
Coline Aunis, médiatrice scientifique de l’université de Bourgogne.
Aurélie Massaux, docteur en neurosciences.
Astronomie et espace
Jean Matricon, professeur de physique émérite à l’université de Paris-VII-Denis-Diderot.
Sébastien Farin, astrophysicien au palais de la Découverte, Paris.
Sébastien Fontaine, chercheur à l’INRA de Clermont-Ferrand, unité de recherche « ?Agronomie ? ».
Olivier de Goursac, secrétaire de la commission de l’exploration spatiale, Société astronomique de France (SAF).
Histoire des techniques
Olivier Pinte, diplômé de sciences politiques, d’histoire et de cinéma.
Kamil Fadel, responsable du département de physique au palais de la Découverte.
Thierry Lasserre, chercheur au service de physique des particules du CEA de Saclay, responsable scientifique du projet « ?Double CHOOZ ? », chargé d’exposés au planétarium du palais de la Découverte.
Sonia Arfaoui, journaliste scientifique (médecine générale).
Thierry Lefebvre, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université de Paris-VII, historien des sciences, du cinéma et des médias.
Jean-Claude Bastian, certifié en histoire et géographie, administrateur de la FNARH (Fédération nationale des associations de personnel des postes et télécommunications pour la recherche historique).
Bruno Jacomy, directeur adjoint et chef du département pédagogique et culturel, musée des Arts et Métiers.
Olivier Lavoisy, docteur en génie industriel.
Sébastien Fontaine, chercheur à l’INRA de Clermont-Ferrand, unité de recherche « ?Agronomie ? ».
Sciences de la Terre
Arnaud Lemaistre, médiateur scientifique, département des sciences de la Terre, palais de la Découverte.
Nadia Daki, journaliste scientifique.
Florence Daniel, docteur en sciences de la Terre, éditrice scientifique.
Éric Buffetaut, directeur de recherche au CNRS.
Physique
Thierry Lasserre, chercheur au service de physique des particules du CEA de Saclay, responsable scientifique du projet « ?Double CHOOZ ? », chargé d’exposés au planétarium du palais de la Découverte.
Bernard Pire, directeur de recherche au CNRS, centre de physique théorique de l’École polytechnique, Palaiseau.
Chimie
Arnaud Haudrechy, professeur d’université, laboratoire de recherches sélectives appliquées.
Mathématiques
Nicole Berline, docteur d’État ès sciences, professeur des universités, professeur associée à l’École polytechnique.
Florence Daniel, docteur en sciences de la Terre, éditrice scientifique.
Jean Matricon, professeur de physique émérite à l’université de Paris-VII-Denis-Diderot.
Sébastien Fontaine, chercheur à l’INRA de Clermont-Ferrand, unité de recherche « ?Agronomie ? ».
Kamil Fadel, responsable du département de physique au palais de la Découverte.
Vidéos scientifiques
Florence Daniel, docteur en sciences de la Terre, éditrice scientifique.
Jean Matricon, professeur de physique émérite à l’université de Paris-VII-Denis-Diderot.
Sébastien Fontaine, chercheur à l’INRA de Clermont-Ferrand, unité de recherche « ?Agronomie ? ».
Kamil Fadel, responsable du département de physique au palais de la Découverte.
Les entretiens audiovisuels
Les entretiens audiovisuels ont été tournés sur les sites suivants :
Grande Galerie de l’évolution, rénovée par Paul Chemetov et Borja Huidobro, mise en scène par René Allio, Muséum national d’histoire naturelle, Paris.
Galerie de paléontologie, Muséum national d’histoire naturelle, Paris.
Observatoire de Meudon.
Musée Snecma moteurs, Vernon.
ESCPI (École supérieure de conception et de production industrielles), Paris.
École polytechnique, Palaiseau.
Université de Paris-Sud, Orsay.
Palais de la Découverte, Paris.
Académie des sciences, Paris.
Institut Cochin-INSERM (Institut de la santé et de la recherche médicale), Paris.
Cartes historiques
Olivier Compagnon, ancien élève de l’école normale supérieure, agrégé d’histoire, maître de conférences en histoire à l’université de Paris-III-Sorbonne nouvelle (Institut des hautes études de l’Amérique latine).
Vincent Gourdon, agrégé et docteur en histoire, chercheur au CNRS.
Xavier Lapray, agrégé d’histoire.
Patrick Plumet, docteur d’état, archéologue, professeur honoraire au département des sciences de la Terre et de l’atmosphère, université du Québec à Montréal.
Media Cartes, sous la direction de Claudio Rumolino.
IO Interactifs.
Archives du XXe siècle
Pierre-Yves Badel, docteur ès lettres, professeur à l’université de Paris-VIII.
Pascal Buresi, chargé de recherche au CNRS.
Olivier Compagnon, ancien élève de l’école normale supérieure, agrégé d’histoire, maître de conférences en histoire à l’université de Paris-III-Sorbonne nouvelle (Institut des hautes études de l’Amérique latine).
Claire Fredj, diplômée de Science Po, agrégée d’histoire, enseignante.
Bernard Valade, professeur à l’université de Paris-V-Sorbonne, secrétaire général de L’Année sociologique.
Sylvain Venayre, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne.
C’est le mode de recherche le plus rapide et le plus intuitif de l’encyclopédie : « ?J’entre un mot clé, je clique sur le bouton ‘chercher ‘ et j’obtiens des résultats.? »
ASTUCE : En cliquant sur la flèche à gauche de la boîte de requête, vous accédez à la liste des recherches que vous avez faites précédemment (cette liste n’est pas conservée lorsque vous fermez l’application). Vous pouvez cliquer sur un élément de cette liste pour le sélectionner et lancer de nouveau la recherche pour ce mot clé.
Les résultats de la recherche sont présentés en deux listes distinctes :
REMARQUE : Lorsque vous sélectionnez un mot clé directement dans la liste des mots clés suggérés sous la boîte de requête, la page de résultats n’affiche que les résultats obtenus via l’index, ce qui représente les résultats les plus pertinents répondant à votre requête. Si vous souhaitez voir également les résultats de la recherche en texte intégral, tapez votre requête puis cliquez sur le bouton « ?chercher ? » (icône loupe) ou utilisez la touche Entrée.
L’index vous propose plusieurs mots clés (également appelés « ?entrées d’index ? ») vous permettant d’affiner votre requête :
Dans la liste de résultats, cliquez sur le titre de l’article, sur la vignette du média ou sur le lien LIRE LA SUITE.
ASTUCE : Lorsque vous ouvrez un article depuis la liste de résultats sans l’index (recherche en texte intégral), le mot ou l’expression correspondant à votre requête est mis en surbrillance dans le texte.
L’indexation est une entreprise éditoriale effectuée par des professionnels de la documentation qui permet à l’algorithme d’interpréter la chaîne de caractères en lui conservant son sens. Pour y parvenir, il est nécessaire de procéder à une lecture fine et complète de l’ensemble des textes (titres, sous-titres, corps et parties de l’article). Il en résulte un haut niveau de précision, inédit dans les modes de recherche informatique.
Un mot clé est une chaîne de caractères, c’est-à-dire une série de lettres liées entre elles selon un ordre fixe et défini. La chaîne « ?r-a-c-i-n-e ? » n’est pas égale à la chaîne « ?a-c-e-i-n-r ? », bien que composée des mêmes lettres. Les moteurs de recherche utilisent un algorithme (séquence d’instructions logiques) pour localiser et quantifier une chaîne de caractères. Mais cette chaîne de caractères n’est pas considérée comme un mot puisque aucun sens n’y est rattaché. Par exemple, un algorithme ne sait pas que la chaîne de caractères « ?D-j-e-s-e-r ? » désigne un pharaon de la IIIe dynastie (IIIe millénaire avant J.-C.).
L’indexation permet de trier les réponses
Le premier rôle de l’indexation est de trier les réponses en fonction des différents sens du mot clé que vous avez saisi.
Prenons l’exemple du mot clé « ?racine ? ». Le mot « ?racine ? » porte plusieurs sens. S’agit-il de botanique, de linguistique, de mathématiques ou bien de Jean Racine, de Louis Racine ou même de Peter Fricker Racine ?
L’indexation propose à l’utilisateur autant de formulations qu’il y a de sens : « ?racine, botanique ? », « ?racine, linguistique ? », « ?racine, mathématiques ? », « ?Racine, Jean (1639-1699) ? », « ?Racine, Louis (1692-1763) ? », « ?Racine, Peter Fricker (1920-1990) ? », etc.
Vous pouvez alors choisir la formulation la plus adéquate.
L’indexation supprime le « ?bruit ? » dans les réponses. En recherche informatique, on appelle « ?bruit ? » les documents non pertinents retenus malgré tout par le moteur de recherche.
L’indexation permet de n’obtenir que les réponses utiles, c’est-à-dire les documents contenant une information réelle et pertinente par rapport à la requête effectuée.
Lorsque le mot clé n’est utilisé qu’à titre de mention ou de citation, il n’est pas retenu. Par exemple, le mot « ?racine ? » est présent dans l’article sur le théâtre russe, mais dans un emploi trop indirect : « ?En réalité, ces metteurs en scène [...] sont d’abord les héritiers de la grande école de metteurs en scène et d’acteurs dont les racines remontent au début du XXe siècle.? »
Traitement des flexions
Universalis prend en charge les flexions du mot clé, c’est-à-dire les variations en genre (masculin/féminin) et en nombre (singulier/pluriel).
Ainsi, une requête avec le mot « ?cheval ? » est étendue au mot « ?chevaux ? » ? ; une requête avec le mot « ?carolingien ? » est étendue aux mots « ?carolingiens ? », « ?carolingienne ? » et « ?carolingiennes ? ».
Variantes
Ainsi, une requête avec le mot « ?bioéthique ? » est étendue par défaut à « ?éthique biomédicale ? » : l’index propose alors 35 documents en guise de réponse, alors que le mot « ?bioéthique ? » n’est présent que dans 26 documents. Les 9 autres utilisent l’expression plus scientifique d’« ?éthique biomédicale ? ».
De même, certains « ?objets ? » possèdent des variantes d’écriture. Par exemple, le fleuve chinois Yangzi peut également s’écrire Yangzijiang (et même, dans une interprétation plus puriste, « ?Changjiang ? », qui signifie « ?Long Fleuve ? » en mandarin).
Grâce à son indexation manuelle, Universalis recherchera les quatre noms ou expressions dès lors que vous en utiliserez un. Ainsi, chaque document que vous obtiendrez – avec ou sans la présence de votre mot clé – sera tout à fait pertinent.
Utilisation des opérateurs booléens
Le moteur prend en compteur les opérateurs suivants : ET, SAUF, OU,
parenthèses, * et ? (Voir plus de détails dans « La recherche avancée ».)
Certains mots peuvent s’écrire de différentes façons selon certaines options orthotypographiques.
Prenons l’exemple des sigles et acronymes : le système de recherche Universalis interprétera les différentes graphies. Par exemple, pour la requête « ?ONU ? », Universalis associera la forme « ?O.N.U.? » et, bien sûr, la forme littérale « ?Nations unies ? ».
Lorsque vous souhaitez poser une requête nécessitant plus de deux mots clés, il est nécessaire d’utiliser des opérateurs, c’est-à-dire des mots spécifiques (ou des signes typographiques) dont la fonction est d’associer, d’exclure ou de localiser l’ensemble des mots clés, comme dans une équation : c’est la recherche avancée.
NOTE : L’utilisation de la recherche avancée ne peut se faire qu’en texte intégral (sans l’index). De la qualité de votre formulation dépend alors la pertinence des résultats. Dans un très grand nombre de cas, l’index et la classification permettent d’obtenir de meilleurs résultats.
La colonne de gauche de la page permet de formuler la requête.
Saisissez votre requête.
Vous pouvez entrer les opérateurs dans votre requête en les saisissant avec le clavier (en capitales), par exemple : Napoléon ET cinéma.
Vous pouvez également cliquer sur le bouton de l’opérateur choisi : celui-ci s’affiche automatiquement dans la boîte de saisie, avec une espace avant et après.
ATTENTION : Les mots tels que « ?et ? », « ?ou ? », « ?sauf ? », lorsqu’ils sont écrits en minuscules, sont considérés comme des « ?mots vides ? » et ignorés par le moteur de recherche. Pour qu’ils soient considérés comme des opérateurs, ils doivent impérativement être écrits en capitales dans la requête.
L’opérateur ET signifie « ?avec ? ». Il a pour fonction d’associer deux mots clés dans une même requête, sans qu’ils soient nécessairement proches l’un de l’autre. | Exemple : La requête Freud ET Adler permet de rechercher tous les documents possédant à la fois le mot « Freud » et le mot « Adler ». L’opérateur ET améliore la précision de votre requête, mais diminue sa couverture. |
L’opérateur OU signifie « ?ou bien ? ». Il permet de sélectionner les articles possédant au moins l’un des mots clés de la requête, mais pas nécessairement les deux. | Exemple : La requête Freud OU Adler permet de rechercher les documents qui contiennent le mot « Freud » ou bien le mot « Adler » ou bien les deux à la fois. L’opérateur OU augmente le nombre de résultats (la couverture), mais peut diminuer la précision. |
L’opérateur SAUF est un opérateur d’exclusion. Il élimine de la sélection tous les documents contenant le terme exclu par l’opérateur. Cet opérateur améliore la pertinence de votre requête. | Exemple : La requête York SAUF New permet de rechercher les documents qui contiennent le mot « York », mais sans le mot « New ». Ainsi, les documents mentionnant New York seront écartés de la liste de résultats. |
L’opérateur ? (point d’interrogation) permet de spécifier un caractère comme indéterminé. Il fait office de joker. Plusieurs opérateurs ? sont admis dans la même chaîne de caractères. | Exemple : Si vous avez un doute sur la graphie du mot « ?synonyme ? », vous pouvez saisir s ?non ?me. |
L’astérisque * sert à élargir la recherche aux formes dérivées d’un mot. Il est appelé l’opérateur de troncature à droite. Un seul opérateur * est autorisé dans un mot clé, et toujours à la fin de celui-ci. |
Exemple 1 : La requête cheva* permet de trouver les documents qui contiennent les mots « ?cheval ? », « ?chevalin ? », « ?chevaux ? », « ?chevalier ? », « ?chevalerie ? », ainsi que leurs flexions en genre et en nombre. Exemple 2 : La requête orni* permet de retrouver le mot « ?ornithorynque ? ». |
Les guillemets " " sont un opérateur d’exactitude sémantique (également appelé opérateur d’adjacence stricte). L’expression qu’ils encadrent est prise en compte dans son écriture exacte par le moteur de recherche. Les guillemets annulent le rôle d’opérateurs de mots tels que ET, OU, SAUF. | Exemple 1 : La requête "sain et sauf" permet de trouver les documents contenant l’expression exacte, sans tenir compte des documents comprenant distinctement les mots « sain » et « sauf » seuls ou associés d’une autre façon. Exemple 2 : La recherche "Laurel et Hardy" ne donne pas les mêmes résultats que la requête Laurel ET Hardy. |
Les parenthèses ( ) permettent de structurer votre requête afin de bien spécifier l’ordre d’évaluation des opérateurs par le moteur de recherche. Sans les parenthèses, les opérateurs sont interprétés dans l’ordre séquentiel, de gauche à droite sans aucune priorité. L’ordre et la position des parenthèses sont importants, car ils conditionnent le sens même de la requête. |
Exemple : La requête (Freud OU Adler) ET psychanalyse est différente de la requête Freud OU (Adler ET psychanalyse) et ne produira pas les mêmes résultats. La première requête – (Freud OU Adler) ET psychanalyse – permet d’obtenir les documents contenant soit « Freud » et « psychanalyse », soit « Adler » et « psychanalyse ». La deuxième requête – Freud OU (Adler ET psychanalyse) – permet d’obtenir les documents contenant soit « Freud », soit « Adler » et « psychanalyse », soit les trois mots clés. Les parenthèses s’emploient toujours avec d’autres opérateurs. |
Une fois la requête posée dans la boîte de saisie, vous pouvez choisir sur quoi portera votre interrogation.
NOTE : Par défaut, sans sélection de votre part, la requête porte sur l’encyclopédie tout entière.
Dans toute l’encyclopédie : Tous les textes composant l’encyclopédie sont interrogés (les références bibliographiques ne sont pas prises en compte dans cette recherche).
Dans les titres : Seuls les titres d’article sont pris en compte dans l’interrogation.
Dans les sources : Seules les références bibliographiques situées en fin d’article sont prises en compte.
Dans les médias : Dans ce cas, seuls les légendes et les commentaires sont interrogés.
Universalis vous propose de choisir parmi les 22 racines de la classification (entrée générique de chaque discipline).
Les résultats sont présentés sous forme de liste dans la partie droite de la page.
La liste alphabétique présente tous les documents (texte et médias) de l’encyclopédie. Pour permettre une navigation aisée dans la liste, celle-ci est découpée en différentes parties selon la première lettre du titre.
Pour permettre de mieux identifier le type et le format des documents proposés dans la liste, chaque titre est précédé d’une icône indiquant si le document est un article ou un média.
La recherche thématique permet d’interroger un corpus sans mot clé. Ce mode de recherche est particulièrement utile lorsque la formulation d’une requête s’avère trop complexe.
Le principe consiste, à partir d’une idée générale, à atteindre, par des sélections successives, le document (ou l’ensemble de documents) correspondant à la demande. Ce principe repose sur la classification des documents de l’encyclopédie selon leur thème. Dans la suite, nous emploierons également le terme « ?classification ? » pour parler de la recherche thématique.
Qu’est-ce que la classification ?
La classification organise l’intégralité de l’encyclopédie selon une vision thématique fondée sur les disciplines du savoir. Ces thématiques sont organisées en arborescence afin de permettre une exploration intuitive de l’encyclopédie : une discipline regroupe plusieurs domaines, qui regroupent eux-mêmes plusieurs sous-domaines, et ainsi de suite.
En d’autres termes, la classification permet de naviguer par choix successifs.
La classification est, comme l’indexation, le résultat d’un travail éditorial continu, effectué par une équipe d’indexateurs documentalistes. Elle s’appuie totalement sur le sens et le contexte de chaque article.
Lorsque vous arrivez sur la page de la recherche thématique, les 22 principaux thèmes de la classification sont affichés dans la colonne de gauche.
Les niveaux de la classification peuvent donner deux types de résultats :
La médiathèque organise l’essentiel des médias fixes et animés de l’encyclopédie selon une vision thématique fondée sur les disciplines du savoir. Ces thématiques sont organisées en arborescence afin de permettre une exploration intuitive de l’encyclopédie : une discipline regroupe plusieurs domaines, qui regroupent eux-mêmes plusieurs sous-domaines, et ainsi de suite. En d’autres termes, la médiathèque permet de naviguer par choix successifs.
La médiathèque s’appuie sur la classification Universalis qui est, comme l’indexation, le résultat d’un travail éditorial continu, effectué par une équipe d’indexateurs documentalistes. Elle s’appuie totalement sur le sens et le contexte de chaque document.
En plus de la navigation dans les rubriques thématiques, la médiathèque d’Universalis 2017 offre de nouveaux outils de recherche dans les médias et de filtrage des résultats. La page d’accueil de la médiathèque vous donne accès aux 22 niveaux principaux de la classification.
Sur la page d’accueil de la médiathèque, sélectionnez une catégorie dans la colonne de gauche.
Par défaut, les résultats s’affichent sous forme de vignettes.
La liste des rubriques attachées à cette catégorie s’affiche dans la partie inférieure.
L’affichage des illustrations se recalcule automatiquement pour ne retenir que les illustrations liées à l’entrée sélectionnée.
Tous les domaines ouverts sont représentés sous la forme d’une arborescence, totalement en hyperlien : il suffit de cliquer sur n’importe quel niveau de cette arborescence pour revenir à cette étape de la recherche.
NOTE : La liste de résultats (dans la colonne de gauche) demeure accessible en permanence lors de la consultation d’un document. Il est donc possible à tout moment d’afficher les documents d’une autre entrée de la liste.
Vous pouvez également faire une recherche en saisissant le(s) mot(s) de votre recherche dans la zone de saisie située au-dessus de la liste des catégories, dans la colonne de gauche. Votre recherche s’effectuera sur les titres et légendes des médias présents dans la médiathèque.
Si vous souhaitez faire une recherche au sein d’une catégorie :
Vous pouvez également filtrer l’affichage des résultats selon le type de média :
NOTE : Le filtrage s’applique uniquement à la liste de résultats affichée à l’écran. Lorsque vous sélectionnez une sous-catégorie, les filtres sont réinitialisés aux valeurs par défaut (affichage de tous les types de médias).
Plus de 7 400 personnalités de l’enseignement et du monde culturel et scientifique signent l’intégralité du corpus de cette édition. Nombre d’entre eux ont également collaboré avec les services éditoriaux d’Universalis pour la réalisation des documents multimédias.
Universalis 2017 vous donne la possibilité de consulter l’intégralité de l’encyclopédie à partir de la signature de ses contributeurs.
Voici quelques conseils qui vous permettront de comprendre les éléments de base de la recherche documentaire et de découvrir une méthode de travail afin d’utiliser au mieux le système de recherche Universalis.
À partir de ce que vous évoque le thème de votre recherche :
Plusieurs modes de recherche sont disponibles dans Universalis 2017.
Deux d’entre eux sont dédiés à la recherche documentaire à partir de mots clés : la recherche par mot clé et la recherche avancée. La recherche avancée permet d’interroger Universalis avec plusieurs mots clés, que l’on peut associer à des opérateurs. Elle permet également de limiter la recherche à certains domaines.
Dans la plupart des cas, la recherche par mot clé est le mode d’interrogation le plus simple, le plus pertinent et le plus rapide.
Toutefois, Universalis 2017 vous propose d’autres modes d’interrogation, chacun ayant son utilité et sa pertinence.
Que vous ayez choisi l’un ou l’autre des modes de recherche, il vous faudra formuler une requête précise afin d’obtenir les résultats les plus appropriés à votre recherche.
Si vous considérez que votre requête peut être formulée à partir d’un seul mot clé, saisissez celui-ci dans la boîte de requête par mot clé (en haut de la fenêtre Universalis 2017) ou sur la page de recherche avancée.
Les mots clés Universalis proposés dans les résultats de la recherche (résultats avec l’index dans la colonne de résultats) vous aideront le cas échéant à préciser votre recherche. En utilisant la recherche avancée, vous pouvez formuler une requête complexe à l’aide des opérateurs ET, OU, SAUF, " ", * et ?, qui permettent de combiner vos mots clés entre eux.
Par exemple, si vous n’êtes pas sûr de l’orthographe d’« ?ornithorynque ? », vous pouvez lancer une recherche en écrivant orn ?t*.
Au fur et à mesure que vous trouvez un document intéressant, prenez-en connaissance et voyez en quoi il aide à préciser la problématique de votre sujet.
Le but est de trier les documents, d’éliminer ceux qui n’offrent pas d’intérêt ou qui font double emploi et de retenir ceux qui se situent dans l’optique définie par votre sujet.
Le travail de recherche documentaire a permis de sélectionner un certain nombre de documents de l’encyclopédie. Vous pouvez à présent la compléter par une recherche sur Internet.