Secrets de fabrication

L’édition encyclopédique se définit autour d’un projet qui ne saurait se limiter à rassembler des articles et des médias dans un même ouvrage. Chaque document est un élément relatif qui prend place et valeur dans une architecture globale, préalablement élaborée.

En effet, les domaines de la connaissance ne sont pas des espaces clos composés d’informations distinctes mais, au contraire, des espaces ouverts où se croisent tous les éléments du savoir jusqu’à constituer un ensemble homogène, complet, sans redite et sans omission.
Cela ne veut pas dire que toute information est utile, et c’est le rôle d’une encyclopédie que de retenir celles qui font sens, dans l’acception la plus large du terme, en rejetant celles qui, plus éphémères, sont d’ordre anecdotique.

C’est à cette condition qu’un ouvrage encyclopédique remplit sa mission : offrir à son lecteur l’ensemble éprouvé des connaissances et des savoirs.
Pour y parvenir, l’Encyclopædia Universalis bénéficie du soutien actif et constant d’une importante communauté de 7 400 auteurs et conseillers issus de tous les domaines du savoir. Qu’ils soient ici remerciés.

L’équipe Universalis

Rédaction des articles

Les auteurs

Spécialistes de leur discipline, auteurs et conseillers scientifiques établissent la table des contenus et rédigent l’intégralité des articles. Ils participent également à l’élaboration des divers documents médias.
Concevoir et rédiger un article n’est pas chose aisée et demande une capacité à couvrir en profondeur l’essentiel d’un sujet sans omettre les détails à ne pas manquer. Cela demande aussi une grande disponibilité, l’ensemble de l’encyclopédie étant réalisé en étroite collaboration avec l’équipe éditoriale d’Universalis.

Leur signature (figurant sous le titre de chaque article) est la marque de cet engagement, et garantit au lecteur d’Universalis une information exacte, précise et rigoureuse.

Les éditeurs

Interlocuteurs permanents des auteurs et des conseillers, ils bâtissent, article par article, le corpus encyclopédique. Ils collaborent également aux créations des médias. En apportant à chaque article sa qualité finale, ils forgent ensemble l’unité indispensable de l’ouvrage. Sans cette vision globale, l’encyclopédie ne serait qu’une succession de textes et d’images sans logique.

Réalisation des médias

Les iconographes

L’iconographie occupe une place importante dans l’Universalis, avec près de 25 000 documents, fixes ou animés. Le choix de chaque image s’appuie sur une démarche collaborative en étroite relation avec l’équipe éditoriale (auteurs et éditeurs) et les meilleures photothèques, les musées nationaux, les instituts de recherche, quel que soit le sujet ou le domaine concerné.

L’atelier graphique

Les milliers de dessins (plus de 13 000 ?!) sont effectués ici encore en complète exclusivité. Exécutés selon les directives des auteurs et des éditeurs, ils s’appuient sur les documentations les plus récentes, provenant des meilleures sources. Présents dans tous les domaines (architecture, techniques, économie, histoire, archéologie, sciences humaines, etc.), ils restituent avec exactitude le sujet traité. Ces dessins peuvent être de formes diverses : tableaux, cartes, schémas, graphiques, etc.

L’atlas

L’atlas Universalis propose plus de 1400 cartes, toutes réalisées en exclusivité et présentant plusieurs niveaux d’informations (cartes administratives et relief, données chiffrées, etc.) Ce corpus résulte ici encore d’une étroite collaboration entre toutes les parties concernées : auteurs, éditeurs, cartographes, infographistes, informaticiens.

Les vidéos et la documentation sonore

Plusieurs centaines de vidéos et d’extraits sonores complètent l’illustration de la version numérique de l’encyclopédie. Leur création ou leur sélection résulte d’un véritable processus éditorial, au même titre que les autres documents présentés.

Indexation

Le rôle de l’indexation est primordial : au terme d’une lecture fine et complète de l’intégralité de l’encyclopédie, elle donne au moteur de recherche un niveau de pertinence unique. En effet, les moteurs de recherche informatiques ne peuvent distinguer les différents sens possibles d’un même mot. Par exemple, lorsque nous entrons le mot « ?racine ? », le moteur de recherche ne peut identifier l’objet de la recherche : s’agit-il de botanique, de linguistique (étymologie), de mathématiques (racine carrée, racine d’une équation) ? S’agit-il de Jean Racine, de Louis Racine, de Fricker Peter Racine ?

L’indexation associe avec précision chaque mot avec son (ou ses) sens. Le lecteur est ainsi assuré :

  • d’accéder rapidement à l’information (textes ou médias) ? ;
  • d’obtenir des listes de réponses triées selon le sens ? ;
  • de disposer de toutes les bonnes réponses (et seulement les bonnes réponses).

Correction

Le service des correcteurs contribue grandement à la qualité de l’ouvrage, puisqu’il intervient tant sur le fond que sur la forme. Une de ses missions consiste à garantir la meilleure qualité orthographique possible, même si, comme le disait André Gide, « ?il n’est pas d’édition sans coquille ? ». Chaque texte – article, notice, légende, commentaire – est relu et annoté. Les fautes et les approximations, tant qu’elles n’entraînent pas de modifications importantes dans la rédaction ou dans le discours, sont aussitôt rectifiées. Dans le cas contraire, la copie est reprise et remaniée par l’auteur et l’éditeur en charge du sujet.

Le service de correction intervient également sur un plan véritablement éditorial : les correcteurs vérifient en effet rigoureusement l’ensemble des données (fact checking), les translittérations (graphie des noms étrangers, normés par des règles internationales de traduction phonétique), et assurent ainsi l’homogénéité du corpus encyclopédique.

Enfin, les correcteurs contrôlent après « ?la mise en page ? » (on devrait dire « la mise en écran »), l’unité typographique, dont la bonne observance des règles garantit une parfaite qualité de lecture.

Développement

En parallèle de ce processus éditorial, le lancement d’Universalis 2017 mobilise l’ensemble des équipes d’Encyclopædia Universalis :

La conception

La phase de conception est une étape clé. C’est à ce moment que sont créés l’interface – qui se doit d’être la plus simple et la plus fluide possible –, les différentes salles (Médiathèque, Clés pour le XXIe siècle, Journal des Français, Bibliothèque, Patrimoine d’Universalis…), l’Atlas, et les innovations comme l’outil Corrélats, qui permet d’afficher des articles en relation avec sa consultation initiale.

Notre préoccupation constante est d’innover, de moderniser notre offre et de répondre à de nouveaux usages afin de proposer la meilleure expérience possible à nos lecteurs.

Le développement et l’intégration du moteur de recherche

À l’issue de la phase de conception, est développé le logiciel permettant de naviguer et de lire les contenus Universalis 2017. Les équipes de développeurs suivent de très près l’évolution des différents systèmes d’exploitation afin que le logiciel fonctionne sur le parc de machines installées le plus large possible.

Les contenus Universalis 2017 sont accessibles grâce à un moteur de recherche ultra-performant proposant 7 modes au choix (recherche par mot clé, avancée, alphabétique, thématique, par auteur, dans la médiathèque, dans l’historique de consultation) pour des résultats d’une extrême fiabilité.

Le choix du support

Pour un meilleur confort d’utilisation, Universalis 2017 est désormais sur clé USB, un nouveau support qui présente de multiples avantages :

  • une utilisation sans contrainte sur tous les ordinateurs (conformes aux configurations recommandées, y compris ceux qui ne sont pas dotés de lecteur DVD) ? ;
  • une installation simplifiée grâce à un seul et même support qui regroupe l’installation et les médias ? ;
  • une identification optimisée qui ne nécessite plus de disque d’identification.

Le contrôle qualité

Tout au long de son développement, Universalis 2017 fait l’objet de nombreux tests fonctionnels et de qualité.

Commercialisation

C’est principalement par la vente à distance qu’Universalis 2017 est commercialisée. Les utilisateurs des versions précédentes reçoivent chaque année le nouveau millésime à tarif préférentiel. L’offre est également disponible chez les plus grandes librairies en ligne et sur notre boutique Encyclopædia Universalis.

Remerciements

En sus de ce qui précède, l’éditeur remercie tout particulièrement les institutions (académies, instituts de recherche, centres d’études, organismes indépendants) dont la participation et le soutien au projet encyclopédique demeurent essentiels.

Depuis sa première édition, l’Encyclopædia Universalis est reconnue d’intérêt pédagogique par le ministère de l’Éducation nationale, direction de la technologie.

Le DVD Encyclopædia Universalis a également reçu plus de trente récompenses de la presse spécialisée.

Les auteurs d’Universalis

Plus de 7 200 personnalités de l’enseignement et du monde culturel signent l’intégralité du corpus de cette nouvelle édition.

Nombre d’entre eux ont également collaboré avec les services éditoriaux d’Universalis pour la réalisation des documents multimédias.

UNIVERSALIS 2017 vous donne la possibilité de consulter l’intégralité de l’encyclopédie à partir de la signature de ses contributeurs.

Collaboration éditorial

Les éditeurs d’Encyclopædia Universalis remercient tout particulièrement pour leur contribution aux éléments multimédias :

Atlas

Cartographie mise à jour par l’Afdec, avec la collaboration de Franck Payen.

Œuvres d’art

Art égyptien
Annie Forgeau, maître de conférences à l’université de Paris-IV-Sorbonne, docteur d’État.

Art khmer
Thierry Zéphir, ingénieur d’études au Musée national des arts asiatiques-Guimet, Paris.

Art du Proche-Orient
Jean-Claude Margueron, docteur ès lettres, directeur de la Mission archéologique de Mari, directeur d’études à l’École pratique des hautes études (IVe section).

Peinture occidentale du XIVe au début du XXe siècle
Barthélémy Jobert, ancien élève de l’École normale supérieure, professeur à l’université de Paris-IV-Sorbonne.

Peinture du XXe siècle
Isabelle Ewig, maître de conférences en histoire de l’art contemporain à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Jacinto Lageira, professeur en esthétique à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, critique d’art.
Marcella Lista, docteur en histoire de l’art, responsable de programmation au Musée du Louvre.
Bénédicte Ramade, chargée de cours d’histoire de l’art à l’université Panthéon-Sorbonne, critique d’art.
Hervé Vanel, professeur d’histoire de l’art contemporain à l’université Brown, Rhode Island.

Peinture occidentale du XIVe au début du XXe siècle
Barthélémy Jobert, ancien élève de l’École normale supérieure, professeur à l’université de Paris-IV-Sorbonne.

Peinture du XXe siècle
Isabelle Ewig, maître de conférences en histoire de l’art contemporain à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Jacinto Lageira, professeur en esthétique à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, critique d’art.
Marcella Lista, docteur en histoire de l’art, responsable de programmation au Musée du Louvre.
Guitemie Maldonado, maître de conférences en histoire de l’art moderne et contemporain, université de Paris-I.
Bénédicte Ramade, chargée de cours d’histoire de l’art à l’université Panthéon-Sorbonne, critique d’art.
Hervé Vanel, professeur d’histoire de l’art contemporain à l’université Brown, Rhode Island.

Sculpture occidentale
Barthélémy Jobert, ancien élève de l’École normale supérieure, professeur à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Thierry Dufrêne, professeur d’histoire de l’art contemporain à l’université de Paris-X-Nanterre.
François Baratte, professeur à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Bernard Holtzmann, ancien membre de l’École française d’Athènes, professeur émérite d’archéologie grecque.
Daniel Russo, ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de l’Université, ancien membre de l’École française de Rome, professeur d’histoire de l’art médiéval à l’université de Bourgogne.

Musique

Jérôme Belaygue, concepteur informatique.
Jean-Louis Chautemps, saxophoniste, flûtiste, compositeur et écrivain.
Alain Féron, compositeur, critique, musicologue, producteur de radio.
Juliette Garrigues, musicologue, analyste, chef de chœur, diplômée du Conservatoire national supérieur de musique de Paris.
Eugène Lledo, compositeur, auteur, musicologue et designer sonore. Titulaire d’un DEA de musicologie (université de Paris-VIII).
Christophe Lorentz, rédacteur on-line, spécialiste des musiques électroniques.
Christian Merlin, agrégé de l’Université, docteur ès lettres, maître de conférences à l’université Charles-de-Gaulle, Lille-III, critique musical.
Walter Scassolini, rédacteur, Music in Europe.

Réalisation des vidéos en collaboration avec Encyclopædia Universalis

Archéologie et civilisations anciennes
Aïcha Bachir Bacha, ingénieur, chercheur à l’École des hautes études en sciences sociales.
Éric Janicot, docteur ès lettres et sciences humaines, docteur en histoire de l’art et archéologie.
Pierre Ragon, écrivain, directeur des collections Horizons Amérique latine, L’Autre Amérique, Recherches et documents Amérique latine, Recherches et documents Espagne.
Clarisse Didelon, maître de conférences en géographie à l’université du Havre et membre de l’équipe CIRTAI de l’UMR 6268 IDEES, coordinatrice scientifique adjointe du projet de recherche ESPON 3.4.1 « ?Europe dans le Monde ? » à l’UMS RIATE.
Jean-Marie Maillefer, agrégé d’histoire, professeur des universités en langues et littératures germaniques et scandinaves, membre de la Société des historiens médiévistes de l’enseignement public français, membre de Kungliga Samfundet för utgivande av handskrifter rörande Skandinaviens historia (Société royale pour l’édition des manuscrits concernant l’histoire de la Scandinavie).
Renaud de Spens, conférencier en égyptologie à l’École nationale supérieure (2005), conférencier en égyptologie à l’université de Lille, enseignant-chercheur (ATER) à l’université de Paris-II.
Pierre-Yves Badel, docteur ès lettres, professeur à l’université de Paris-VIII.
Antony Hostein, professeur agrégé d’histoire, allocataire-moniteur à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne.
Franck Prêteux, professeur agrégé en histoire, civilisation, archéologie et art des mondes anciens et médiévaux à l’université de Paris-IV-Sorbonne.
Michael Guichard, maître de conférences à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, spécialiste du Proche-Orient amorrite, éditeur des textes de Mari.

Histoire
Olivier Pinte, diplômé de sciences politiques, d’histoire et de cinéma.
Luc Forest, professeur d’histoire et de géographie, collège François-Mitterrand, Moissac.
Pascal Buresi, chargé de recherche au CNRS.
Olivier Compagnon, ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé d’histoire, maître de conférences en histoire à l’université de Paris-III-Sorbonne nouvelle (Institut des hautes études de l’Amérique latine).
Vincent Gourdon, agrégé et docteur en histoire, chercheur au CNRS.
Patrick Perrin, directeur du Musée d’archéologie nationale.
Sylvain Venayre, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne.
Xavier Lapray, agrégé d’histoire.
Bertrand Blancheton, docteur en sciences économiques, professeur des universités, coordinateur Erasmus pour l’économie, chargé de conférences à Sciences Po, Paris.

Société
Alain Labrousse, retraité de l’Éducation nationale, expert dans le domaine de la géopolitique des drogues.
Jean-Marie Bourdaire, consultant international.

Biologie
Anne Hervé-Minvielle, docteur en neurosciences, conseiller scientifique du directeur du palais de la Découverte, chef de projets en médiation scientifique.
Virginie Cavier, pharmacienne écotoxicologue.
Alain Labrousse, retraité de l’Éducation nationale, expert dans le domaine de la géopolitique des drogues.
Béatrice Le Brun, rédactrice scientifique.
Nicolas Chevassus-au-Louis, docteur ès sciences, journaliste.
Lucas Salomon, docteur en neurosciences et professeur agrégé de sciences de la vie et de la Terre.
Jeremy Lavalaye, journaliste scientifique.
Coline Aunis, médiatrice scientifique de l’université de Bourgogne.
Aurélie Massaux, docteur en neurosciences.

Astronomie et espace
Jean Matricon, professeur de physique émérite à l’université de Paris-VII-Denis-Diderot.
Sébastien Farin, astrophysicien au palais de la Découverte, Paris.
Sébastien Fontaine, chercheur à l’INRA de Clermont-Ferrand, unité de recherche « ?Agronomie ? ».
Olivier de Goursac, secrétaire de la commission de l’exploration spatiale, Société astronomique de France (SAF).

Histoire des techniques
Olivier Pinte, diplômé de sciences politiques, d’histoire et de cinéma.
Kamil Fadel, responsable du département de physique au palais de la Découverte.
Thierry Lasserre, chercheur au service de physique des particules du CEA de Saclay, responsable scientifique du projet « ?Double CHOOZ ? », chargé d’exposés au planétarium du palais de la Découverte.
Sonia Arfaoui, journaliste scientifique (médecine générale).
Thierry Lefebvre, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université de Paris-VII, historien des sciences, du cinéma et des médias.
Jean-Claude Bastian, certifié en histoire et géographie, administrateur de la FNARH (Fédération nationale des associations de personnel des postes et télécommunications pour la recherche historique).
Bruno Jacomy, directeur adjoint et chef du département pédagogique et culturel, musée des Arts et Métiers.
Olivier Lavoisy, docteur en génie industriel.
Sébastien Fontaine, chercheur à l’INRA de Clermont-Ferrand, unité de recherche « ?Agronomie ? ».

Sciences de la Terre
Arnaud Lemaistre, médiateur scientifique, département des sciences de la Terre, palais de la Découverte.
Nadia Daki, journaliste scientifique.
Florence Daniel, docteur en sciences de la Terre, éditrice scientifique.
Éric Buffetaut, directeur de recherche au CNRS.

Physique
Thierry Lasserre, chercheur au service de physique des particules du CEA de Saclay, responsable scientifique du projet « ?Double CHOOZ ? », chargé d’exposés au planétarium du palais de la Découverte.
Bernard Pire, directeur de recherche au CNRS, centre de physique théorique de l’École polytechnique, Palaiseau.

Chimie
Arnaud Haudrechy, professeur d’université, laboratoire de recherches sélectives appliquées.

Mathématiques
Nicole Berline, docteur d’État ès sciences, professeur des universités, professeur associée à l’École polytechnique.
Florence Daniel, docteur en sciences de la Terre, éditrice scientifique.
Jean Matricon, professeur de physique émérite à l’université de Paris-VII-Denis-Diderot.
Sébastien Fontaine, chercheur à l’INRA de Clermont-Ferrand, unité de recherche « ?Agronomie ? ».
Kamil Fadel, responsable du département de physique au palais de la Découverte.

Vidéos scientifiques
Florence Daniel, docteur en sciences de la Terre, éditrice scientifique.
Jean Matricon, professeur de physique émérite à l’université de Paris-VII-Denis-Diderot.
Sébastien Fontaine, chercheur à l’INRA de Clermont-Ferrand, unité de recherche « ?Agronomie ? ».
Kamil Fadel, responsable du département de physique au palais de la Découverte.

Les entretiens audiovisuels
Les entretiens audiovisuels ont été tournés sur les sites suivants :
Grande Galerie de l’évolution, rénovée par Paul Chemetov et Borja Huidobro, mise en scène par René Allio, Muséum national d’histoire naturelle, Paris.
Galerie de paléontologie, Muséum national d’histoire naturelle, Paris.
Observatoire de Meudon.
Musée Snecma moteurs, Vernon.
ESCPI (École supérieure de conception et de production industrielles), Paris.
École polytechnique, Palaiseau.
Université de Paris-Sud, Orsay.
Palais de la Découverte, Paris.
Académie des sciences, Paris.
Institut Cochin-INSERM (Institut de la santé et de la recherche médicale), Paris.

Cartes historiques
Olivier Compagnon, ancien élève de l’école normale supérieure, agrégé d’histoire, maître de conférences en histoire à l’université de Paris-III-Sorbonne nouvelle (Institut des hautes études de l’Amérique latine).
Vincent Gourdon, agrégé et docteur en histoire, chercheur au CNRS.
Xavier Lapray, agrégé d’histoire.
Patrick Plumet, docteur d’état, archéologue, professeur honoraire au département des sciences de la Terre et de l’atmosphère, université du Québec à Montréal.
Media Cartes, sous la direction de Claudio Rumolino.
IO Interactifs.

Archives du XXe siècle
Pierre-Yves Badel, docteur ès lettres, professeur à l’université de Paris-VIII.
Pascal Buresi, chargé de recherche au CNRS.
Olivier Compagnon, ancien élève de l’école normale supérieure, agrégé d’histoire, maître de conférences en histoire à l’université de Paris-III-Sorbonne nouvelle (Institut des hautes études de l’Amérique latine).
Claire Fredj, diplômée de Science Po, agrégée d’histoire, enseignante.
Bernard Valade, professeur à l’université de Paris-V-Sorbonne, secrétaire général de L’Année sociologique.
Sylvain Venayre, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne.